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Autos-Avions-Passion

Ferrari Superamerica Cabriolet ou Vespa 400 découvrable ?

mercredi 3 mars 2010

Autos Passion Collection Ferrari Superamerica Cabriolet ou Vespa 400 découvrable ?

MP3 - 2.5 Mo

Souvenirs, Souvenirs...

Dans les Années 70, à la porte des Ternes de Paris, mon associé et moi, avions une quarantaine de voitures en exposition.

En quelques années, on ne nous en a volé qu’une seule. Une Chambord de couleurs crème et marron.

Nous prenions la précaution de serrer les unes contres les autres, le long du trottoir, les voitures qui ne pouvaient tenir à l’intérieur, par manque de place.

Le matin, lorsque nous nous sommes aperçu qu’il y avait une place vide dans la file de nos voitures en stationnement, il ne nous fallut pas longtemps pour comprendre ce qui nous arrivait.

Nous avons compris aussi aux traces laissées sur la route par les voleurs que la voiture avait été soulevée, puis tirée.

C’est le seul moyen de "subtiliser" une voiture de ce poids et de ce volume, coincée entre deux autres véhicules, donc impossible à manoeuvrer.

Ce risque faisait partie de notre métier, nous l’avons assumé.

Pour nous remettre de nos émotions, nous avons réceptionné une Ferrari Superamerica cabriolet. Son propriétaire, un Italien, nous était adressé par notre ami POZZI. Il voulait nous la confier en dépôt vente.

Nous lui avons aussitôt réservé une place de choix auprès d’une 400 Vespa.

La Routière sportive et la Citadine se complétaient parfaitement et ne risquaient pas de se faire concurrence.

Mon associé et ami, après avoir jeté un coup d’oeil à l’impressionnante mécanique Ferrari, souhaita regarder le moteur de la 400.

Je lui ouvris le capot moteur. Il aperçut un petit boîtier muni d’une manivelle. Avant que j’intervienne, il avait fait effectuer quelques tours à cette manivelle.

Pour tout dire, celle-ci injectait de l’huile dans le réservoir d’essence. Elle ne devait être actionnée que d’un tour pour 5 litres d’essence.

Bien sûr il fallut vidanger et nettoyer le réservoir d’essence avant de refaire le plein et de remettre le moteur en route.

Encore heureux qu’il n’y eut pas le même système sur la Ferrari...

A très bientôt, votre Jean Raymond.


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Raymond de Cagny