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lundi 23 février 2009
Monsieur HOSSEIN suite cliquer pour écouter
Dans son livre LA NOSTALGE, Monsieur Hossein retranscrit un texte que Frédéric Dard lui a adressé : lettre à un loup nommé Hossein.
Ce texte est merveilleux. C’est une véritable comparaison entre un loup du fond des steppes, qui court, qui court pour garder la vie, ainsi que le fait son ami.
Puis, il y eut les 4 filles Poliakoff autour de leur Mère, comparables à l’œuvre de Tchekhov où elles n’étaient que 3 !
Après avoir rencontré Odile et Hélène sur les Champs, il leur laisse 4 billets pour venir le voir jouer…
Marina était belle, blonde et elle avait 16 ans.
Il se trouva amoureux un matin en s’éveillant !
Et ce fut la vieille Russie reconstruite à Maison-Lafitte, demeure imposante, chevaux dans les immenses allées du parc ; cette sublime famille recevait beaucoup de gens intéressants…
En 1955, un producteur russe lui demande de mettre en scène "Les salauds vont en enfer"
Pourquoi pas ?
Il accepte, demande à Marina si elle veut jouer le personnage principal.
Elle accepte.
Ce film lui valut de comprendre que si l’on pouvait adapter des conceptions cinématographiques au théâtre, l’inverse n’était pas possible.
Il apprenait tout. Tout ce qu’il apprenait années après années ferait de lui ce qu’il est devenu avec ses Grands Spectacles.
Il a aimé Marina Vlady, c’était réciproque.
Ils se sont mariés au cours du tournage de "Crime et Châtiment"
"Pardonnez-nos offenses" lui est resté en travers de la gorge. Mais il eut un assez beau succès avec "Toi le venin" roman de Frédéric Dard, où toutes les filles Poliakoff participaient, soit comme actrices, soit à la technique.
Il fut acteur dans "Sait-on jamais" de Vadim en 1957 et dans "Méfiez-vous fillettes" d’Allégret, la même année.
Il réalisa en 1959 "la nuit des espions" "Le Vice et la Vertu" en 1962, "Maldonne" en 1968, "Sept hommes pour Tobrouk", il fut même Rommel dans "La bataille d’El Alamein", en 1968.
Marina et lui eurent deux fils : Igor et Pierre, et se sont quittés en 1959, avec "Les Canailles" de Labro.
En 1961, il y eut "Le goût de la Violence" où il ne fut pas truand, "Madame sans Gêne", "Le Monte Charge", "Le Jeu de la Vérité", et "Les Petits Matins".
Des traits de son caractère (c’est lui qui l’écrit) : Il aimait les jeune filles blondes qu’il regardait avec beaucoup de tendresse et d’émotions, peut-être à cause de ses origines slaves !..
Il est comme les loups, mais aussi comme les éléphants, il n’oublie jamais les vexations inutiles qu’il a reçues. Plusieurs fois, il a rendu "la monnaie de la pièce" !
Ode à suivre
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Raymond de Cagny