Edito

14 JUILLET

La Tribune des Valeurs

14 JUILLET...

La France en Fête !..

samedi 6 février 2016

Une lectrice nous a adressé le récit d’un fait réel qu’elle a vécu avec son mari. MP3 - 2.9 Mo Faites comme cette Lectrice, adressez-nous vous aussi vos textes, nous les publierons dans nos pages. Merci.

La Rédaction a jugé que ce fait divers correspondait à une valeur. Voici ce récit :

C’était un soir de 14 Juillet. Tout un chacun avait le droit de s’amuser avec des pétards et c’était le début des feux d’artifices.

Nous habitions dans une petite cité d’HLM, en bord d’une rue peu passagère, bordée de l’autre côté par des villas très simples et bien entretenues.

Devant la fenêtre de notre séjour, nous voyions assez souvent un superbe berger allemand aller et venir dans le jardin sans aboyer outre mesure.

Il vivait seul avec sa maîtresse, une très jolie femme blonde, toujours bien maquillée.

Nous pensions qu’elle devait travailler dans une Boîte de Nuit, ce qui nous avait été confirmé par le facteur qui était bavard et savait tout ce qui se passait dans notre petite ville. Il avait même précisé que ce n’était pas certain qu’elle soit une femme !

Ce soir là, au moment du feu d’artifices, des lumières et des bruits, le chien terrifié a passé la barrière du jardin d’un saut prodigieux. Nous regardions les fusées, mon mari et moi, lorsque nous avons vu sa fuite.

J’avais l’habitude de promener ma chienne cocker. Je suis descendue et j’ai parcouru les petites rues avoisinantes. Mon mari restait debout devant la maison du chien, dans le cas où il reviendrait.

J’ai vu le chien. J’ai sifflé à tout hasard, en me tapant sur les cuisses, le buste baissé pour l’inviter à venir.

Il est venu.

Son collier portait son nom : Wolf.

Je l’ai gratté derrière les oreilles en glissant mes doigts sous son collier, de peur qu’il ne se sauve à nouveau. S’il l’avait fait, j’étais par terre.

Je l’ai ramené devant sa maison, en lui parlant doucement. Mon mari m’y attendait.

Nous avons bien essayé de le faire passer au dessus de la barrière, mais il aurait fallu deux hommes, et mon mari craignait qu’il ne nous morde pris de terreur.

Impossible de lui faire monter nos 3 étages, pour la même raison et à cause de notre petite chienne.

J’ai gardé Wolf sur le trottoir devant sa maison. Mon mari était allé chercher 2 chaises et une bassine pleine d’eau fraîche.

Wolf s’était couché entre nous deux après avoir lampé une bonne partie de l’eau.

Il dormait. A 4 heures du matin sa maîtresse est rentrée, fraîche comme une rose. Elle était stupéfaite de voir son chien dehors avec nous assis sur nos chaises.

Le berger manifesta sa joie et se dressa sur les pattes arrière, celles de devant s’appuyaient fortement sur les épaules de sa maîtresse.

Mon Dieu qu’il était grand !

Le lendemain matin, quelqu’un sonna à notre porte.

C’était un livreur. Il portait une gerbe immense – pas autant que Wolf, mais quand même – avec une carte de remerciements.

Voilà !

Deux amis des bêtes.

Annonces

Meubles de Demeure Familiale à Vendre

MEUBLES A VENDRE clic sur suite article pour voir photos Coffre (bureau) (...)

Pour publier une annonce.

Envoyez-nous vos textes et photos éventuelles par email à l’adresse : redaction@valeurs-francaises.fr

Toutes les annonces

Publier une annonce

Répondre à un article

Poster un message

En réponse à :

  • bigvalue shop

    2 décembre 2024 18:00, par Hermine
    やがて斯(こ)の運動場(うんどうば)から裏庭の方へ廻つて、誰も見て居ないところへ来ると、不図何か思出したやうに立留つた。???『斯ういふ訳さ??僕が手提洋燈(てさげランプ)を持つて、校舎の外を一廻りして、あの運動場の木馬のところまで行くと、誰か斯う僕を呼ぶやうな声がした。手提洋燈(てさげランプ)を吹消して、急いで火鉢の側(わき)に倚添ひ乍ら、『いや、もう屋外(そと)は寒いの寒くないのツて、手も何も凍(かじ
Un message, un commentaire ?

(Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.)

Lien hypertexte (optionnel)

(Si votre message se réfère à un article publié sur le Web, ou à une page fournissant plus d'informations, vous pouvez indiquer ci-après le titre de la page et son adresse.)

Qui êtes-vous ? (optionnel)